J’ai grandi à la campagne, là où l’on courait dans les champs de blé, les cabanes dans les cerisiers et les vélos déraillés.
Les photos s’empilaient dans un placard. On aimait les regarder, discuter, se les partager.
Sensible aux images et aux rencontres depuis toujours, mes photos ont une approche documentaire, je photographie l’atmosphère la plus sincère.
Aujourd’hui, j’ouvre souvent une fenêtre à la maison. Pour entendre ce qui se passe dehors, et me rappeler mon enfance.
Mathilde
Un soir d’été, à la maison.
Joues rosées d’hiver